BIBERONNEMOI
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BIBERONNEMOI
5 år sedan
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Il jouir tout les deux dans ma bouche. L'un d'entre eux m'embrassa sur le front, avec un sourire au lèvre. Celui qui semble dire pauvre petite fille. Puis ils partirent, me laissant là, sale.<< Une fois mon petit trou bien ouvert ,prêt a s'offrir ,il enfonça son sex tendu bien profondément comme pour me dire "celle là tu ne l'oublieras pas de sitot !" les va-et-vient de son manche me faisait jouir comme une pucelle et ses petits gemissements mettaient a nus le plaisir qu'il prenait lui aussi a me prendre ainsi soumise a lui. >>
Le plaisir de la sodomie est essentiellement psychologique : de te sentir soumise et d'être à moitié consentante, de vouloir refuser et puis d'un coup d'accepter !
A condition d'avoir utilisé un lubrifiant silicone (en pharmacie), sinon ...et bien ce fut une sacré expèrience !!!!!
Le plaisir de la sodomie est essentiellement psychologique : de te sentir soumise et d'être à moitié consentante, de vouloir refuser et puis d'un coup d'accepter !
A condition d'avoir utilisé un lubrifiant silicone (en pharmacie), sinon ...et bien ce fut une sacré expèrience !!!!!
Svar
J'étais dans une soirée qui se située prés d'un lac. Cela devait être en Septembre, derniers jours chauds de l'année dont on peut encore profiter. La soirée s’annonçait extra. Une salle sympa, intimiste, ouverte sur le lac. La nuit tombait, et bien que la température extérieure descendait, dans la salle elle montait. Sur la piste de danse, on devint de plus en plus serrés, transpirants corps contre corps, allant parfois jusqu'à enlever le haut, ce qui faisait monter les désirs et l’excitation de certains. Puis il eu ce mec me fixant du regard, un léger sourire aux lèvres. Le regard qu'on vous lance pour vous signifier que la seule chose qui compte à cet instant c'est de vous rendre sienne. Que vos formes ne sauraient être plus à son goût. Que la façon dont vous bougez alimente ses fantasmes. Que votre regard le transperce et le le fait frémir. Que tout son être est à vous, livrés à vos charmes auxquels il ne saurait résister. Qu'il suffirait d'un battement de cil pour laisser en lui une trace impérissable.
De musiques en musiques nos corps se rapprochèrent, jusqu’à que nos lèvres devenue trop proches s'ouvrirent à l'un à l'autre. Il m’invitât à prendre un verre. Là on discutât, puis surprise, son jumeau arriva. Les paroles s'enchainèrent puis le second jumeau semblât de plus en plus intéressé, échangeant des regards complices avec son frère qui me caressait de manière de plus en plus significative. Sa main passa sous ma jupe, entrât dans ma culotte, ses doigts me pénétrèrent lentement. Son frère n'avait pas l'air gêné. Il me regarda dans le fond de mes yeux pendant que je me faisait doigté. C'était un regard bien différent de celui de son frère, celui qu'on lance à une salope. Alors il pris ma tête et il m'embrassa me mordant la lèvre comme pour me faire mal. Rapidement ses main venaient presser mes seins. La le désir montât comme rarement il fût monté, j'en devint toute humide.
Ils m'emmenèrent alors dehors pour avoir plus d'intimité. J'était prise entre 2 bagnoles, entre eux deux qui tour à tour m'embrassaient, les lèvres, les seins, me doigtaient avec de moins en moins de retenue. Puis on se dirigeât vers le lac. Ils m'allongèrent au bord du lac, à l'abri des regards. L'un m'enleva ma culotte et enfonça d'un coup sa grosse queue en moi. Je sentit mon corps se crisper. A peine le temps d'apprécier mon nouveau hôte que j'aperçue une seconde queue au dessus de moi n'attendant que de se faire sucer. Le plaisir était intense, les deux frères devaient me bâillonnaient pour que je ne jouisse pas trop fort, jouissances qu'il m'étais impossible de contenir. Ils échangèrent de place à répétitions, c'était comme si ils étaient en compétition pour savoir qui me ferais crier le plus. Mes lèvres gonflées, mon vagin de plus en plus béant, et toutes ses mains qui me touchaient, me pénétraient, me pressaient jusqu’à me faire mal. Je n'était alors plus qu'un objet à leur merci.
De musiques en musiques nos corps se rapprochèrent, jusqu’à que nos lèvres devenue trop proches s'ouvrirent à l'un à l'autre. Il m’invitât à prendre un verre. Là on discutât, puis surprise, son jumeau arriva. Les paroles s'enchainèrent puis le second jumeau semblât de plus en plus intéressé, échangeant des regards complices avec son frère qui me caressait de manière de plus en plus significative. Sa main passa sous ma jupe, entrât dans ma culotte, ses doigts me pénétrèrent lentement. Son frère n'avait pas l'air gêné. Il me regarda dans le fond de mes yeux pendant que je me faisait doigté. C'était un regard bien différent de celui de son frère, celui qu'on lance à une salope. Alors il pris ma tête et il m'embrassa me mordant la lèvre comme pour me faire mal. Rapidement ses main venaient presser mes seins. La le désir montât comme rarement il fût monté, j'en devint toute humide.
Ils m'emmenèrent alors dehors pour avoir plus d'intimité. J'était prise entre 2 bagnoles, entre eux deux qui tour à tour m'embrassaient, les lèvres, les seins, me doigtaient avec de moins en moins de retenue. Puis on se dirigeât vers le lac. Ils m'allongèrent au bord du lac, à l'abri des regards. L'un m'enleva ma culotte et enfonça d'un coup sa grosse queue en moi. Je sentit mon corps se crisper. A peine le temps d'apprécier mon nouveau hôte que j'aperçue une seconde queue au dessus de moi n'attendant que de se faire sucer. Le plaisir était intense, les deux frères devaient me bâillonnaient pour que je ne jouisse pas trop fort, jouissances qu'il m'étais impossible de contenir. Ils échangèrent de place à répétitions, c'était comme si ils étaient en compétition pour savoir qui me ferais crier le plus. Mes lèvres gonflées, mon vagin de plus en plus béant, et toutes ses mains qui me touchaient, me pénétraient, me pressaient jusqu’à me faire mal. Je n'était alors plus qu'un objet à leur merci.
Svar